Non, ce n'était pas un "creux"... mais était-ce vraiment un "sommet" ?

En regard des chantiers nombreux qui s'ouvrent, des comités et concertations qui se mettront en branle... on aurait putôt l'image d'une plaine de Montréal . Des priorités, des actions, des mesures... Il y en a pour tout le monde. Ces résolutions seront-elles suivies de réalisations ?

Cela dépendra de la détermination et l'engagement des acteurs réunis au Sommet, mais aussi de leur capacité à faire de ces résultats un programme d'action régional non partisan... Trop demander ? C'est vrai que les "consensus" atteints à la pelleté dans de tels sommets sont sujets à caution dès qu'on se rappelle que l'opposition municipale n'était pas là...

Mais il y avait suffisamment de monde pour que l'opposition politique au conseil municipal regrette amèrement de n'y avoir pas été.

Oui, c'est vrai, le processus était bousculé, précipité... mais la Ville a "livré la marchandise". Bravo aux employés, d'avoir relevé le défi dans des conditions pas faciles.

Un tel sommet, avec toutes ses imperfections, est un événement trop rare et précieux pour qu'on se prive d'en tirer le maximum, collectivement. Pour cette raison le parti VM devrait s'engager à collaborer à la réalisation des grandes orientations issues su Sommet, en y reconnaissant un reflet de qualité des désirs et projets de la société civile Montréalaise. D'autre part, le parti au pouvoir devrait s'obliger à tout faire pour obtenir l'engagement des élus locaux, de quelque parti qu'ils soient... Ces élus étant par définition en lien avec les ressources et réseaux locaux.

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