28 mars, 2002 | |
Traduction, fonctionnariat et autres... « La partie initiale du projet, qui s'étendait de mars à mai 1999, comprenait environ 200 heures de traduction, approximativement 29 000 mots » citation tirée de ce site fédéral. Ah oui ? Vraiment ? Une excellente connaissance à moi traduit 500 mots* à l'heure, texte adapté au marché québécois, voire au montréalais ou au marché francophone international si besoin est ("contenu et contenant"), hyperliens, le cas échéant, vérifiés et adaptés également, texte révisé, prêt pour la mise en page. Si on double le temps d'action, par égard pour nos fonctionnaires qui sont constamment bousculés (j'imagine) par le chevauchement de priorités impromptues, ça nous fait 250 mots à l'heure, 29 000 mots, on arrondi à 30 000 (ne nous privons pas), ça nous donne un total de 120 heures plutôt que les deux cents réclamées. Je rappelle au lecteur que c'eût donné un résultat de moins de 60 heures n'eussions-nous ajusté le tir. Je me pose de sérieuses questions sur l'efficacité (la rapidité, le rendement ?) de nos services de traduction au fédéral. Errais-je ? Vous êtes étourdis? Moi "zôssi". * On parle ici de 500 mots à l'heure avec des circonstances idéales, du genre : nous sommes le 11 septembre 2001 ou dans les semaines suivantes et la pression est au « max », les subtilités de l'adaptation du texte sont extrêmement délicates... le rêve de tout traducteur aguerri quoi ! Un des avantages extraordinaires du boulot de ces traducteurs ? Il génèrent Termium. Le bobo? Contrairement à son équivalent québécois, on doit payer pour avoir accès à cette merveilleuse banque de données alimentée par nos sou$ CQFD. Et toc! Et ça, c'était un vrai de vrai « coup de langue » (On appelle figurément Coup de langue, une médisance ou un mauvais rapport que l'on fait. Et on dit proverbialement, qu'Un coup de langue est pire qu'un coup de lance) 10:43:47 PM Permalien À vos claviers [] |