The Daily Poligraf
Joyeux Noël ! J'ai eu mon cadeau de Noël en avance ! Je l'ai reçu vendredi soir, un peu après souper, et c'est un des plus beaux cadeaux que j'ai reçu à vie ! Le contexte actuel ne me permet pas de vous en dire plus pour le moment, mais si tout se passe bien, je devrais être en mesure de faire la lumière bientôt.
Du côté de Weed, le développement du moteur progresse bien. La nouvelle architecture me rend vraiment la vie plus simple, et ça me permet entre autres d'être plus ambitieux dans mes objectifs : tant qu'à y être, allons-y à fond.
J'ai publié quelques captures d'écran du nouveau portail. Le nouveau design y est mis en évidence, mais toutes les innovations ne sont pas encore visibles, question de conserver un effet de surprise. Vous pouvez accéder aux images en vous rendant à la page d'accueil de l'Artist Area. Commentaires bienvenus !
Poligraf poursuit sa relâche. Cette semaine, ce sont les indisponibilités de chacun qui rendent une rencontre impraticable. J'ai hâte que les activités reprennent !
Quelques jours avant Noël, j'ai finalement reçu les commentaires des membres du jury du Conga relativement à l'audition que le groupe avait passée en novembre dernier. Pour ma part, pas vraiment de surprise, mais leurs remarques me laissent croire que les juges n'étaient pas particulièrement ouverts à notre musique. Avec le recul, je comprends mieux ce que j'ai éprouvé pendant l'audition. Comme le dit Fripp, "the audience is mother to the music." Dans une récente entrée à son journal, il fait justement mention du rôle essentiel que joue l'attention de l'auditoire au cours d'une performance :
12.30 Sutton is a wonderful unfolding that takes the time it takes to unfold. This is mostly a result of playing in a church, rather than performing to standing rock punters who are smoking & drinking. At Sutton, there is no pressure, explicit or implicit, to maintain an eventing to hold the audience's attention. When a crowd's attention is strongly elsewhere, even without active or directed nastiness, the player bumps up against a tangible barrier.
Ça me rappelle quelques partys où j'ai chanté en m'accompagnant à la guitare et où l'inattention d'un trop grand nombre de participants rendait la tâche particulièrement ardue, à tel point que j'ai développé certaines réticences à répéter l'exercice.
J'ai de nouveau brisé le circuit imprimé de mon téléphone sans fil en l'ouvrant pour le nettoyer de la substance jaunâtre et visqueuse qui s'accumule sur ses contacts. Sauf que cette fois-ci, plutôt que de me contenter de souder le contact brisé, j'ai recollé le circuit et j'ai posé un "jumper", ce qui devrait régler le problème une fois pour toute :
J'ai publié ce matin le résumé du dernier match des Skywalkers en 2005. Bilan de "mi-saison" : 8-3-0 et quatrième position pour les Nordiks; 7-4-0 et deuxième position pour les Skywalkers. Bref, tout va pour le mieux pour les équipes dont je fais partie, et les activités extra-curriculaires de la semaine dernière laissent espérer que nos succès se poursuivront en 2006.
À propos, le party de Noël des Skywalkers s'est tenu jeudi dernier, et malgré un taux de participation qui aurait pu être plus élevé, la soirée fut quand même un succès avec en vedette liquides-à-bulles (de l'eau au citron pour moi), tranches de patates cuites et assaisonnées (des chips pour les intimes), échange de cadeau, et les désormais célèbres sandwiches au pain d'Éric. Pour les néophytes, un sandwich au pain est composé de trois tranches de pain : deux pour le sandwich, et une pour la garniture. Notez qu'aucun autre ingrédient n'entre dans la fabrication d'un véritable sandwich au pain. Tandis que les fêtards se rendaient au Mundial pour terminer les célébrations, je suis rentré à la maison en compagnie de ces magnifiques coupes-chandeliers :
Cartes de Noël :
Every Day Is Christmas!, un conte de Noël gracieuseté de Robert :
A true story for Christmas Day, told me by Sister of a close friend of hers, C, who is also a professional speaker. For C, every day is Christmas. He has a house decorated for Christmas thoughout the year, and makes it available to underprivileged kids for holidays & breaks. In this holiday house, every day is Christmas. The project reflects his faith, and is a practical expression of it. C was diagnosed with terminal cancer and, the clock ticking, he arranged a farewell party for friends at which he would say goodbye.
There is no tragedy in a life well lived that runs its course; although for friends and family, there is loss. But, knowing ahead of time, we can prepare for our flying away in proper order: this is a blessing.
So, C held his farewell party, which became a surprise party: the terminal cancer had gone into remission & C was given the all clear. How can this possibly be?
For me, this is easily explained: where there is faith, all the rules change. Beliefs are multiple, faith is singular, whichever the Messenger. It is easy to scoff at an explanation as simple as this, even damn it as simplistic. No doubt, this viewpoint is also true. And yet, faith is simple. And, for at least one man, one might say that where there is faith, every day is Christmas.
Décidément ! Même l'endos de ma liste d'épicerie me parle d'évènements synchroniques :
C'est un extrait de "Le noeud sacré", un essai de Jean Désy qu'un ami m'avait photocopié, si je me souviens bien, vers le milieu des années 90 alors que j'habitais dans le secteur de la rue Myrand. Intéressant que l'article soit rendu sur le dessus de ma pile de papier à réutiliser.
Hydrogen and Dust in the Rosette Nebula :
 - poligraf [The Daily Poligraf]
6:23:37 PM 
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