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Saturday, November 02, 2002 |
L'article de fond de Sébastien Paquet sur la publication de la connaissance individuelle est généralement reconnu comme une référence en matière de phénomène blogue. Alimentant ce point de vue, Clément Laberge nous pointait récemment vers un billet qui offre des raisons complémentaires et alternatives à la motivation de bloguer. Je m'abonnerai d'ailleurs au fil de nouvelles de Lilia Efimova pour son propos articulé qui rejoint mes intérêts.
10:52:54 AM
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La rumeur bloguérienne porte cette nouvelle tout azimuts. J'avais été y voir moi-même sans grand succès comme beaucoup d'autres d'après les commentaires recensés. Mais Sébastien Paquet nous la ramène avec enthousiasme puisqu'il semble y avoir découvert la réponse partielle à sa quête du Graal. À vous de voir.
What does Google think of you?
Just when you thought you could have no more fun with Google, along comes Googlism. I like what it says about me, even if it's a little dated... :) (via Brad Choate's blog.) [Halavais: News]
This is simply brilliant. And it helped my finally get to the bottom of that nagging question: What is open research?
10:27:13 AM
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Tiens, à Gatineau se tiendra un Sommet sur l'apprentissage, (Learning summit), dont le thème «Le savoir en mouvement - de l'apprentissage au rendement supérieur» rejoint les questions de gestion de savoirs. Trouvé par le biais de Tomoye, qui se présente comme ayant une Community of Practice (CoP) application that addresses the specific needs of managers at the hub of collaborative knowledge networks in public sector...
Sur cette dernière question du KM dans le secteur public, et même en français !
Des références pertinentes de Gilles Beauchamp. Entre autres, une fenêtre sur la communauté européenne où l'on retrouve des écrits en français allant dans le sens des propos recencés sous nos latitudes :
Si maintenant, une information équivalente [aux possibilités d’accès à l’information] ou tout aussi pertinente peut s’obtenir par d’autres canaux [communautés de pratique par exemple] , ceux qui pratiquent la rétention d’informations perdent leur avantage. De plus, par leur attitude, ils s’interdisent de participer aux échanges sur les thèmes qui les intéressent. Or, ces échanges permettent de transformer le savoir afin d’optimaliser son adéquation à l’environnement. Là réside le bénéfice majeur du partage des connaissances, laisser se transformer les connaissances pour maximiser l’avantager concurrentiel sur le marché.
10:12:35 AM
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© Copyright 2002 Robert Gregoire.
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