12 novembre, 2002 | |
Un mot pour le dire (en grappes) « Communauté d'apprentissage : des mots pour le dire. Ça date déjà un peu (1996), mais ça demeure une lecture intéressante : on risque parfois de galvauder des termes... » [Ze Cool bloggue] NDLGR : Langagiers : Visitez ! Très « aiguillant » 10:15:10 PM Permalien À vos claviers [] |
Heureuse fête Mercedes ! Elle est allée chercher de quoi nous alimenter l'oeil et le neurone au club vidéo du coin. Soirée « d'amoureuses » en perspective. Elle fête ses 19 ans. Elle est si belle (au sens propre et figuré). Et je l'aime. Elle entame sa vingtième année. Je serais toujours son amie. Nous passerons toujours des soirées en amoureuses quand elle en aura envie. Je l'aime comme j'aime sa soeur. Comme je n'ai jamais aimé et je n'aimerai jamais personne de même et si entière façon. Cet amour-là, il est unique et je le chéris. Je suis fière de toi, ma tendre fille. Continue à vivre et à évoluer de si merveilleuse envolée. Les mots me manquent, c'est (rare, mais) évident. Ton entrée dans la vingtaine, même si elle ne sera consacrée au calendrier que l'année prochaine, m'émeut terriblement. Gros câlins. Je t'aime. 8:16:59 PM Permalien À vos claviers [] |
Vivat Francis !!! « Il y a un peu plus d'un mois, c'était Le Devoir. C'est aujourd'hui Le Soleil, sous la plume de Normand Provencher, qui me permet de faire le plein de nouveaux lecteurs. Je crois qu'on appelle ça un pied de nez gigantesque à tous les professeurs de français que j'ai eus dans ma vie! Cela dit: Bienvenue à tous ceux qui nous découvrent ce matin. » [Québec urbain] NDLGR : Ça, c'est le genre de reconnaissance qui me remplit de bonheur. Ciel que ce mec le mérite ! Salut à la passion, à la persévérance et à la créativité. (Méga) salut Francis ! Et pour le pied de nez aux profs, cher être méritoire, « join the club » comme disent les chinois (...) (!!!) 7:01:58 PM Permalien À vos claviers [] |
Un mot pour le dire Succube. Diablesse qui, la nuit venue, se livre aux plaisirs charnels avec un homme, commettant ainsi le succubat (une poétique solution de rechange à péripatéticienne). Hon ! En version mâle, on dira incube. Mais le démon mâle, lui, viole ses victimes féminines, sombrant dans l'incubat. Pas joli joli, l'infâme incube. Pffffffffff ! NDLGR : Succube est de genre masculin mais on le rencontre aussi au féminin dans la littérature. 7:49:40 AM Permalien À vos claviers [] |