19 août, 2002 | |
Enfin !Un glossaire théâtral, et le mot est faible. Je cherche depuis un petit moment déjà un tel joyau. Très complet. Signé André Bourassa. UQAM. D'ailleurs, savez-vous comment se nomme le bâton responsable des coups annonciateurs d'une représentation ? Vous y trouverez la réponse. 8:50:07 PM Permalien À vos claviers [] |
J'adopte !Plus qu'un glossaire, une source de référence sans prix (aux sens propre et figuré) sur tout ce qui concerne l'adoption. Glossaire alphabétique ou thématique. Documents de référence omniprésents. Droit français. Gracieuseté du ministère français des affaires étrangères. Sachant cela, excellent signet pour tous. 8:13:52 PM Permalien À vos claviers [] |
22, v'la les clics !Vingt-deux définitions éloquentes. Une utilisation de l'hypertexte pertinente, justifiée et justifiable. Pour l'âme, la langue, le neurone. Antiracisme.org. Clair. 7:58:20 PM Permalien À vos claviers [] |
Littérature en ligneUn autre poétique incontournable. Anthologie francophone. Il offre également un petit traité de la versification française qui saura mériter le regard prolongé de tout curieux de poésie. 7:49:54 PM Permalien À vos claviers [] |
Un mot pour le direCochette (merci à CFD). Terme éphémère s'il en est un, en son application pratique. Il désigne la jeune truie qui s'est accouplée avec succès (les spermatos ayant pénétré les ovules) jusqu'au moment de la naissance de sa progéniture. Une truie n'est donc cochette qu'une fois dans sa « chienne de vie » ! 7:34:49 PM Permalien À vos claviers [] |
Prendre le bouvillon par les cornesVous vous souviendrez des échanges virtuels d'un carnet à l'autre entre CFD et bibi la semaine dernière, où le jeune homme semblait éprouver les affres d'un questionnement profond sur la nature de certaines bêtes domestiques. De canicule en panne de serveur (ou rigorisme à outrance de logiciel antivirus, selon CFD), ma réponse s'est fait attendre. La voici donc. Jour 1 - L'oeuf ou la poule ? Le roux cybercarnet pointe vers un hyperlien et commente un lexique multilingue de la volaille. En section à vos claviers, CFD dépose un commentaire et se questionne sur les différences profondes qui justifient les appellations poule, poulet, poussin. Le commentaire boutade a un ton humoristique mais je joue le jeu, avec un plaisir consommé, la question orientant mes recherches vers la découverte d'excellentes ressources langagières. Jour 2 - De la poule au veau Non satisfait de la chronique volaille, notre CFD national décide qu'il a envie de me « tester » (Pardon ? Prétentieux, fat, vous dites ? Mais non, mais non, cabotin tout au plus !) en me soumettant ses interrogations sur les bovidés. En bonne joueuse, j'obtempère au doigt et à l'oeil, et bien que j'eus pu répondre au pif et à l'oreille, j'exploite mon goût pour la recherche qui me mène une fois de plus à des trouvailles fort substantielles pour la communauté langagière et amants du français (ne vous demandez pas si cette phrase est à double sens, elle en compte cinq ;). Le cabotin est (malgré lui ?) utile. Jour 3 - C'est la faute « à » Bacchus ! À la publication de la chronique pro-bovidés, intitulée C(Q)FD, Carl Frédéric s'exprime. Je reproduis ici ses propos (en italique et pas nécessairement dans l'ordre, pour des raisons de fluidité du texte, mais soyez assurés que le désordre n'altère en rien le sens d'origine) afin d'y répondre. Ne voilà t-il pas que la Grande Rousse™ me qualifie de charmeur. Voilà tout de même bien étrange venant d'une personne que je ne connais que virtuellement. Euh, perrrrrrrrdon ? J'ai écrit charmeur, moi ? Le jeune dandy prend ses désirs (ou ses craintes) pour des réalités. Il aurait avantage à utiliser sa grande force d'imagination pour dégoter des réponses à ses questionnements existentiels plutôt que de semer dans le coup de clavier de ses pairs d'utopiques assertions. Nous ne nous connaissons que virtuellement ? Grand bien vous fasse, cher CFD, car si mon coup de langue peut être acéré, le regard que j'eus pu vous décocher à la pro(li)fération de ce genre de propos eût été cent fois plus éloquent. Et promettez moi de ne rien dire à propos ce cette allusion au (Q) dans le titre... Moi et le Q vous savez... ! Et le lendemain : À la limite c'est plutot elle qui joue la charmante! Ce titre (C(Q)FD), cher CFD, était un clin d'oeil humoristique forgé de vos initiales et d'une phrase utilisé par petits et grands mathématiciens, Ce Qu'il Fallait Démontrer. Déformer les propos semble être votre lot. Sachez qu'à quelques années près j'eus pu être votre mère (que Dieu m'en garde) et qu'en espace-temps réel, je serais votre soeur très très aînée. La pédophilie n'étant pas ma tasse de thé, l'idée de vous inclure dans mes visées, ne serait-ce qu'en allusion, ne saurait m'effleurer, ni en boutade, ni même en billevesées (puisqu'il m'arrive de les commettre). NDLGR : Je sais, en son deuxième volet, elle est un peu vache et tirée par les cheveux cette réplique, mais y en a marre à la fin ... Bien que l'ensemble de mes connaissances féminines seraient probablement d'accord avec le qualificatif (superbe excès de confiance en soi masculine ici!), je ne crois pas que la dite Grande Rousse™ ait répondu à ma question principale concernant le sexe des veaux. Deuxième chance! Une DEUXIÈME CHANCE ??? Mais c'est trop de bonté ! Soit ! Puisque les ressources vers lesquelles j'ai pointé semblent ne pas suffire à vous éclairer, je commet l'ultime effort et puise dans le Robert Électronique, un dictionnaire, vous connaissez ? « Veau. Petit de la vache, pendant sa première année, qu'il soit mâle ou femelle (et éventuellement tué entre trois et sept mois). Veau nourri au lait, au fourrage (- Broutard). Après un an, le veau mâle s'appelle bouvillon, taurillon, le veau femelle génisse*. La vache* a fait son veau. - Vêler. Veau mort-né. - Veau fermier, qui tète sa mère (syn. : veau sous la mère); veau de batterie (élevé en groupe, tué à trois mois). » Dans la même lancée, le Robert explique aussi : « (V. 1534). Fam. Personne niaise, paresseuse; ou encore, indolente et veule. » Ce type de veau, par exemple et pour concrétiser le propos, est rébarbatif à la recherche et ignore l'existence des ouvrages de référence, qui lui sont pénibles à consulter. (Je vais l'avoir ce coup de langue, je vais l'avoir!) Ben c'est fait, heureux homme. Ça m'apprendra à écrire après le cabernet sauvignon... Aaaaaaaaaaaaah ! je me disais aussi, nous ne saurions en vouloir à une pauvre victime de Bacchus. Compte tenu du résultat, je crois même que dans votre cas il s'est allié à Dionysos, le vilain ! Mise à jour : CFD répond dans la section à vos claviers de la présente chronique. L'être est noble, c'est incontestable. J'y suis allé un peu fort et il aurait pu être véhément sans que l'on puisse lui en vouloir. Dans mon cas, ce ne sont pas les effets de l'école de Bacchus qui sont en cause mais sûrement ceux de l'école des lundis « Garfieldiens ». Je ne devrais pas écrire ce genre de chronique le lundi matin. Carl-Frédéric me demande de façon adorablement coquine ce que je ferais sans lui. La première réponse qui me vient à l'esprit : je sourirais moins, c'est sûr ! Et le sourire m'est cher, très cher. 7:41:43 AM Permalien À vos claviers [] |