4 juillet, 2002 | |
Pour MikelVoici un petit rappel qui te permettra d'apaiser l'angoisse de l'accentuation, en attendant ta toute prochaine maîtrise de notre belle langue. Un outil du RALI. La chronique d'origine se trouve ici. 10:56:04 PM Permalien À vos claviers [] |
Quand le virtuel devient de chair, de sang, d'effluves d'âmes(suite et fin de la chronique précédente) Je n'ai pas l'habitude de faillir du bagou, mais c'est pourtant le mal dont je me sens à l'instant atteinte. J'éprouve un énorme sentiment d'incapacité à vous transmettre de certitude certaine et sûre (pléonasme volontaire, salut Nadia ;) ce que l'on ressent lorsqu'on rencontre les heureux lurons de la Toile, ceux qui s'acharnent à publier leurs pensées, leurs passions et leurs coups de coeur ou de tête, pour leur propre bonheur avant tout et le nôtre par ricochet. Des rencontres vraies J'ai tout d'abord fait la connaissance du fameux Karl (qui avait oublié sa vache, le vilain). Un être exquis, d'une patience incroyable, disposé à m'entendre râler sur mon impuissance, mon incompréhension et mes appréhensions à amorcer l'apprentissage des codes terrés sous toute page Internet. Rassurant et encourageant s'est-il fait, et je soupçonne que cela soit dans la nature profonde et indélibile de l'attachant personnage. Des conversations ont aussi été esquissées avec Bill, Martine, Mikel, Blork, et plusieurs autres aux visages respectifs ancrés dans ma mémoire, cette dernière s'obstinant résolument à refuser de nicher leurs noms, ô désespoir ! Et puis Nadia est arrivée, amoureuse du verbe, amante du mot. Le moins que je puisse dire, c'est que avons partagé à plus d'une reprise les même convictions et la même ferveur de la langue bien dite et de l'éducation intelligente, sans tomber dans la bigotterie. Un échange dont j'ai goûté chaque seconde. J'aurais voulu passer avec chacun et chacune autant de temps qu'avec ces deux-là ! La prochaine fois, peut-être, puisque j'y serai, à coup sûr. Mais une chose entre toutes m'a frappée de plein fouet. Anglophones et francophones chevauchaient tantôt une langue, tantôt l'autre, sans sourciller. J'ai rencontré des anglophones qui pensent et souhaitent écrire en français. Qui l'ont appris à l'oreille et qui désirent élargir leurs horizons. Aucune connotation politique, aucune allusion, rien. Que le désir d'apprendre et de savoir. Une pure brise de fraîcheur ! Ne vous étonnez donc pas si dans les prochains jours vous apercevez quelques chroniques sur l'apprentissage du français. Elles seront pour ceux et celles qui ont l'âme bellement polyglotte. Déjà des effets bénéfiques et concrets Vous remarquerez que le calendrier affiché sur le roux cybercarnet est maintenant en français. Grand merci à Karl qui m'a donné le tuyau en m'assurant qu'il avait lu quelque chose là-dessus. C'est chez André Vincent que j'ai trouvé après une recherche qui a duré l'espace d'un soupir. Merci aux deux cerveaux ;) Serez-vous des nôtres la prochaine fois ? Le premier mercredi de chaque mois, à la Cabane, sur le boulevard Saint-Laurent. Je vous le rappellerai le temps venu. L'occasion d'échanger en direct et en personne. Le regard et la parole sont des compléments incontournables de la vie virtuelle. 10:38:34 PM Permalien À vos claviers [] |
Hier ...J'étais au rendez-vous mensuel des carnettistes, carnetiers, blogueurs, webloggers, bref, des adeptes de l'évolution du site personnel toutes langues confondues (particulièrement l'anglais et le français, dirais-je). Beaucoup de choses à dire. Une excellente soirée où plus de trois heures se sont écoulées le temps d'un éclair. Ma fille me réclame à la baignade (elle a raison) et j'ai besoin de plus de cinq minutes pour vous faire part de cette enchanteresse soirée où mon seul regret serait de ne pas avoir réussi à discuter avec chacun et chacune. Je vous reviens ce soir. Promis, juré ! 2:12:20 PM Permalien À vos claviers [] |
La fête chez nos voisins du sudÇa vaut un clin d'oeil. Les États-Unis de A à Z regroupe sous différents thèmes un profil complet de ce peuple omniprésent et controversé. La richesse des hyperliens y contenus est digne de mention. On y retrouve même le texte de la déclaration des droits (Bill of rights) en version française, ainsi que celui de la déclaration d'indépendance. Des textes hébergés par l'Ambassade étatsunienne à Paris. Dans un même ordre d'idée, un site sur les relations canado-étatsuniennes, ou l'on aborde, entre autres et bien évidemment, les dossiers de la frontière intelligente et du bois d'oeuvre. Le site de l'Ambassade des États-Unis au Canada ? Que de l'anglais, comme le faisait remarquer madame Dyane Adam. Seul un message de Paul Celluci semble avoir mérité l'insigne honneur d'une traduction. Le site du consultat étatsunien à Québec n'y échappe pas non plus. Oups, j'ai failli oublier, on y traduit aussi en haut de page le mot Welcome. Bienvenue, peut-on lire. Ah bon ... Mise à jour : Ici et là-bas, une autre perspective, d'un carnet normand que j'affectionne particulièrement ;) 9:46:28 AM Permalien À vos claviers [] |